Ce Vendredi 22 novembre 2013, à Gitega, à l’hôtel TROPITEL, Son Excellence le Deuxième Vice- Président de la République a présidé une réunion de Fund- raising pour la contribution à l’organisation de la 11ème Conférence Internationale de « African Fine Coffees Association(AFCA). Des représentants des Banques, des entreprises et sociétés œuvrant au Burundi avaient répondu au rendez-vous.
Dans son allocution, le Deuxième Vice Président de la République a fait savoir que l’AFCA est une association régionale regroupant les filières cafés de onze pays membres qui sont : le Burundi, la République Démocratique du Congo, l’Ethiopie, le Kenya, et le Malawi, le Rwanda, l’Afrique du Sud, la Tanzanie, l’Ouganda, la Zambie et la Zimbabwe.
Il a fait savoir que le Burundi compte accueillir lors de cette conférence-Exposition plus ou moins 1000 participants en provenance des quatre coins du monde comprenant des chercheurs, des fournisseurs, d’équipements et des intrants, des acheteurs internationaux du café, des exportateurs etc.
Le Deuxième Vice-Président a souligné que cet événement, premier du genre au Burundi, aura sans nul doute un impact très positif sur les différents secteurs de la vie du pays en général et les intervenants dans la filière en particulier en l’occurrence les institutions financières, les hôtels, le secteur touristique, les acteurs dans la filière et la population.
Monsieur le Deuxième Vice-Président a confié que le souhait du Gouvernement est que cette conférence-exhibition soit un succès retentissant pour améliorer davantage l’image et l’hospitalité légendaire du Burundi dans le concert des nations et dans les pays consommateurs de café. Comme l’objet de cette rencontre était donc de leur demander d’y contribuer en prêtant main forte dans l’organisation de cette conférence-exhibition et l’accueil des invités, Son Excellence Gervais Rufyikiri a tenu alors à informer les invités que selon les prévisions, un montant de 700 millions de BIF est nécessaire pour l’organisation de cette conférence et que le montant déjà disponible s’élève à 320 millions et qu’on accuse un déficit de 460 millions de BIF soit à peu près 287.500 USD.
Il a alors terminé son discours en indiquant qu’il ne doute point de la volonté et engagement de ces organisations à répondre positivement à cette sollicitation.
Après ce discours, la parole a été donnée aux différents représentants des banques, des entreprises et sociétés pour déclarer un à an la contribution à donner. Un montant de 173 millions de francs Burundais et de 20.000 dollars a été mobilisé à cet effet.